A Lanloup (Côtes-d’Armor) en 1810, le propriétaire de l’ancien presbytère s’appelle M. Dieupart…
Source : Archives nationales, cote F/3(II)/COTES-DU-NORD/5, dossier Lanloup
A Lanloup (Côtes-d’Armor) en 1810, le propriétaire de l’ancien presbytère s’appelle M. Dieupart…
Source : Archives nationales, cote F/3(II)/COTES-DU-NORD/5, dossier Lanloup
Dans une administration, s’occuper des archives l’été n’a rien de nouveau…
21 juillet 1829, le préfet des Côtes-d-Armor au ministre de l’Intérieur :
« Les registres de l’état-civil de l’arrondissement de Lannion antérieurs à l’an IX (1801) déposés au greffe du tribunal civil sont ds un tel état de délabrement que leur restauration est devenue indispensable.Le nombre de volumes à recoudre et à recouvrir d’un fort carton est de 407 et on a évalué la dépense à 754 francs »
Source : Archives nationales, cote F/3(II)/COTES-DU-NORD/5, dossier Lannion
21 juillet 1829, le préfet des Côtes-d’Armor au ministre de l’Intérieur :
« Les registres de l’état civil de l’arrondissement de Lannion antérieurs à l’an IX (1801) déposés au greffe du tribunal civil sont dans un tel état de délabrement que leur restauration est devenue indispensable. Le nombre de volumes à recoudre et à recouvrir d’un fort carton est de 407 et on a évalué la dépense à 754 francs ».
Le noeud du problème est lui-aussi atemporel : qui doit payer ?
Source : Archives nationales, F/3(II)/Cotes-du-Nord/5, dossier Lannion.
Qu’on se rassure : les registres sont arrivés jusqu’à nous et sont aujourd’hui numérisés.
Le conseil municipal de Lamballe au sujet d’un projet de maison d’éducation pour filles des Ursulines, dans leur ancien couvent (collège municipal garçons de 1804 à 1816), en 1824 :
« Nous avons besoin d’un établissement qui assure aux mères, des filles vertueuses et soumises, et par la suite à l’état des femmes laborieuses, et à la société des épouses fidèles et de bonnes mères de famille »
Source : Archives nationales, cote F/3(II)/COTES-DU-NORD/5, dossier Lamballe